Dans cet ouvrage, McCullin marque sa première visite en Inde sur accréditation à la fin des années 1960. India représente de nombreuses visites ultérieures du photographe et comprend 90 images en noir et blanc et quatre images en couleurs qui présentent des scènes de groupe et des portraits. Certaines de ses images sont bien connues, en (…)
Le 26e Festival International du Photojournalisme Visa pour l’image 2014 se déroule du 30 août au 14 septembre à Perpignan. CEUX DU NORD Il y a quarante ans, la guerre du Vietnam se terminait. L’une des guerres les plus médiatisées. Nous gardons en mémoire les images emblématiques de Larry Burrows, Don McCullin, Philip Jones Griffiths, (…)
Pour sa troisième édition, Polka s’ouvre aux photographes qui tiennent le monde sous leur objectif, qui le racontent et l’interprètent. L’exposition associe de grands noms et de jeunes talents de la photographie. Avec Steven Achiam, Gilles Caron, Elliott Erwitt, Joakim Eskildsen, Stanley Greene, David Alan Harvey, Jacques Lange, Laurence (…)
« Don McCullin est un photographe engagé, concerné, d’un courage incroyable. Le compagnon de route aussi de Gilles Caron. Il a sa propre éthique, en plus d’être un photographe rare et très important. C’est le plus grand photographe de guerre vivant. par Raymond Depardon » Biographie de Don McCullin Don McCullin est considéré comme étant (…)
Don McCullin est né à Londres en 1935, photographe anglais, connu pour ses photographies de guerre, de vie urbaine et de paysages.
Travaillant essentiellement, si ce n’est exclusivement, en noir et blanc, il traduit le monde comme un amalgame de douleur. Même dans la paisibilité de ses paysages et natures mortes, se retrouve le drame d’une existence née dans le dénuement, la guerre et la maladie. Après avoir grandi dans un quartier pauvre de Londres en 1935, il voit mourir son père en 1949 à la suite de longues années d’asthme et de bronchite. Se voyant contraint de quitter l’école, il va de petit boulot en petit boulot. Avant et après avoir fait son servie militaire dans la Royal Air Force où il découvre les voyages et la photographie, il travaille dans au studio d’animation Larkins. Sa première parution sera une série d’images issues de celles qu’il effectue sur ses amis d’enfance, un gang de jeunes, les Guvnors. C’est sur les terribles routes des guerres humaines, qu’il parcourra le monde. Témoignant ainsi, à l’échelle du quartier qui l’a vu naître ou des vastes étendus baignant dans le sang des nations, de la douleur des hommes. Usé, épuisé par sa quête, il se tourne, dès les années 1990, vers des sujets où l’homme s’absente et laisse place aux natures vivantes et “mortes”. Seul est encore présente la sublime tristesse de Don McCullin.