Disparu aux prémices de l’été 1971, le 3 juillet précisément, Jim Morrison hante aujourd’hui les allées du cimetière parisien du Père Lachaise comme la mémoire de millions de fans. Pour perpétuer sa légende, Henry Diltz, le photographe responsable de la pochette du “Morrison Hôtel” (1970) des Doors, publie le subtil roman photo de l’année 1969 (…)
Dans le monde des photographes rock n ’roll, il n’en existe pas aussi extraordinaire que Henry Diltz. Un membre fondateur du Quatuor Modern Folk, Diltz est autant à la maison comme un musicien en tournée, comme il est un historien visuelle des quatre dernières décennies de musique populaire. Les rapports qu’il a développé avec ses amis musiciens, avec son terre-à-terre-sourire et rire fréquents, lui permet de capturer les coups franc qui transmettent un sentiment rare de confiance et d’intimité avec ses sujets. Pour Diltz, les images ont commencé avec un 20 $ de seconde main la caméra japonaise achetée en tournée avec le Quatuor Modern Folk. Lorsque MFQ dissoute, il entame sa carrière de photographe avec une couverture d’album pour The Lovin ’Spoonful. Malgré son manque de formation formelle, Diltz facilement se immergé dans le monde de la musique : la route, les concerts, l’humour, la conscience sociale, le psychédélisme, le temps de monter et descendre. Depuis plus de 40 ans, son travail a honoré des centaines de couvertures d’albums et a été présenté dans les livres, les magazines et les journaux. Son style artistique unique a produit puissant essais photographiques de Woodstock, le Monterey Pop Festival, The Doors, Crosby, Stills, Nash & Young, Jimi Hendrix et des dizaines d’autres artistes légendaires. Diltz poursuit sa brillante carrière, générant de nouvelles photos et dynamique qui inspirent ventilateur de rouler le rock n ’en chacun de nous. Henry Diltz est exclusivement publié et représenté par la galerie Hôtel Morrison.