“Le nom qui efface la couleur” n’est ni un constat, ni le symptôme d’un monde qui disparaît, que l’on aurait perdu. C’était mieux avant n’a pas cours ici. Le photographe espagnol, Israel Ariño, (…)
Israel Ariño a créé ce travail dans le cadre d’une
résidence au Blanc (36), il développe son projet autour
d’une vision qui lui est chère : la disparition d’êtres ou de
"choses" et les traces qui en résultent. Ces images aux
formes poétiques renvoient à un paysage métaphorique
aussi bien originel que contemporain.