La sensibilité de Lee Friedlander transparait dans cette série de photographies intitulée Self Portrait, publiée pour la première fois en 1970. Lee Friedlander se concentre sur sa propre présence révélée sur ses images en noir et blanc. Il écrit : “Au début, ma présence sur mes photos me fascinait en même temps qu’elle me perturbait. Mais peu (…)
L’auteur anglais Geoff Dyer a une fois affirmé que “Edward Hopper pouvait se dire être le photographe américain le plus influent du vingtième siècle ; même s’il ne prenait pas de photographies”. Ce que nous voyons dans les peintures d’Hopper lorsque nous les regardons à travers l’optique de la photographie, et comment, à son tour, le langage (…)
Près de 10 ans après la dernière histoire générale de la photographie publiée en France, cet ouvrage consacré à l’art et à l’histoire de la photographie entend rendre compte des nouvelles voies empruntées par la recherche. Entièrement reproduite en quadrichromie, l’image ancienne et contemporaine y prend une place inédite dans un ouvrage (…)
– Walker Evans (1903-1975) est un photographe américain. On connaît notamment son travail sur la Grande dépression, contribution au programme de la Farm Security Administration. Les images de métayers dans l’Alabama, au même titre que celles de Dorothea Lange, comptent parmi les icônes du monde moderne. On remarque dans son travail les regards (…)
Lee Friedlande est un photographe américain né en 1934.
Après des études au Centre d’Art de Los Angeles, il part à New York où il commence à travailler comme photographe de jazz.
Ses influences principales sont Robert Frank, Walker Evans ainsi qu’Eugène Atget.
La bourse qu’il reçoit de la fondation Guggenheim en 1960 lui permet d’explorer ses talents artistiques.
Ses photographies en noir et blanc concernent principalement la vie urbaine que Lee Friedlander s’amuse à explorer. Reflets, panneaux, affiches, barrières sont autant d’éléments de la ville moderne qui composent les photographies de Lee Friedlander.
Une rétrospective lui a été consacrée en 2005 au Museum of Modern Art de New York, reprise un an plus tard au Jeu de Paume de Paris.