Luc Choquer, le photographe de Planète France, de Ruskaïa et de Portraits de Français, prix Niépce, s’attaque à cette tribu particulière que forment les Parisiens. En s’immisçant dans les lieux les plus inattendus ou les plus fermés, en saisissant dans la rue le spectacle qu’offre l’incroyable diversité sociale et ethnique de la capitale, il (…)
Depuis de nombreuses années, Luc Choquer, né en 1952, co-fondateur de l’agence de photographies METIS, choisit de traiter des sujets peu exploités en photographie. Sa formation antérieure d’animateur socioculturel y est sûrement pour beaucoup Choquer a côtoyé pendant cinq ans des personnes en marge de la société, travaillant auprès de jeunes (…)
Le photographe Luc Choquer initie son projet Portraits de Français à la fin des années 1990. À cette période le monde subit, selon lui, une mutation radicale dont il choisit d’observer les effets non pas aux antipodes mais tout près, chez son voisin de palier. Chez ces hommes et ces femmes que l’on croise quotidiennement en croyant les (…)
Le Centre culturel André Malraux du Bourget présente l’exposition « Quoi de 9 dans le paysage » avec des grands photographes comme : Luc Choquer, Claude Gassian, Pierre Terrasson, Xavier Lambours, Jean Claude Beaumont, Philippe Breson, Arnaud Contreras, Arnaud Lévénès, Etienne Revault ; réunis dans cette exposition riche en images originales (…)
Luc Choquer est né en 1952 en région parisienne. Après des études de psychologie, il devient photographe à partir de 1980 et collabore à des magazines nationaux et internationaux. Il reçoit le prix Kodak de la critique en 1985 et présente ses images au " Mois de la photo " à Paris. En 1986, il obtient la bourse de la fondation Angénieux pour son travail sur la banlieue parisienne. Son premier livre, Planète France (Contrejour), dont les photos seront montrées à Paris ainsi qu’à Tokyo, paraît en 1989. En 1990, il reçoit le prix de la Villa Médicis hors les murs pour son projet sur les femmes de la perestroïka récompensé par le prix Niépce (1992) et publié sous le titre Ruskaïa (Marval), qui donnera lieu à des expositions en France, à Moscou, à San Francisco, etc. En 1995, il expose " Regard social-Regard d’artiste " aux Rencontres d’Arles avant de se consacrer à son projet Portraits de Français. En 2005, il entame un travail sur le thème du Paris sensible.