Photographier ce qui reste, des rituels, des paysages, des hommes… Grand voyageur, Pierre Henri Chauveau s’attache depuis plus de dix ans à relever les impressions rencontrées au cours de ses voyages, à saisir l’empreinte culturelle et spirituelle de l’homme dans un monde en mutation. Traces de désastre à Tchernobyl, Piers abandonnés sur (…)
La photographie est la deuxième vie de Pierre Henri Chauveau. Une vie qui commence au début des années 1990 lorsqu’il décide de se consacrer à ce qui l’anime depuis de nombreuses années : la photographie. Il débute cette nouvelle vie professionnelle par des travaux de commande - portraits de musiciens et d’artistes et reportages à travers le monde
pour Paris Match ou Géo. En janvier 2001, il sera ainsi l’un des premiers photographes à se rendre dans la ville de Pripiat (Ukraine), une semaine après l’arrêt du réacteur n°3, dernier réacteur de la centrale de Tchernobyl encore en service.