Dans ces portraits réalisés au cours des cinq dernières années par Sandrine Huet, souhaité mettre en valeur l’individu tel qu’il a touché, dans toute son altérité, ses contrastes et sa (…)
Sandrine Huet a toujours ressenti son rapport à la photographie comme un lien d’amour. Parcourant le monde, elle estime que son appareil est le compagnon de ses voyages. En 2004, elle rencontre un photographe andalou nommé Manolo Bello, dont elle admire le travail et qui lui permet d’évoluer. Sa disparition récente (avril 2009) lui impose une lecture plus profonde de ses images. “Je balade mon objectif lors de mes expéditions à travers le monde, telle une spectatrice solitaire, discrète et curieuse de l’esthétique de l’Autre dans son milieu et ses cultures et je poursuis mon apprentissage…”