Terrils, Naoya Hatakeyama. Le terril, souvent ignoré ou contourné, reprend la place centrale dans les paysages transmis par Naoya Hatakeyama. Dressé sur le plat pays, il agit comme un appel, un sursaut imaginaire.
Terrils, Naoya Hatakeyama. Le terril, souvent ignoré ou contourné, reprend la place centrale dans les paysages transmis par Naoya Hatakeyama. Dressé sur le plat pays, il agit comme un appel, un sursaut imaginaire.
L’origine du mot “Terril” est assez mystérieuse et divise les historiens. Sa force sonore figure bien la terre extraite, élevée. Comme des blocs de mémoire, leurs silhouettes scandent le paysage du bassin minier Nord-Pas de Calais. Artiste sensible aux transformations géographiques et industrielles, Naoya Hatakeyama a sillonné en 2009 et 2010 (…)