Vivre par terre de Philippe Castetbon. L’auteur de Ici est tombé il a photographié des femmes et des hommes qui dorment par terre à même le sol, à toutes les époques de l’année. Vivre par terre est comme un itinéraire de la misère de notre société, un clin d’oeil sarcastique aux guides tels que Paris pas cher. Philippe Castetbon a interpellé, (…)
Tirésias Éditions été créée pour soutenir et faire connaître le travail sur les oubliés de l’Histoire des Éditions Tirésias, fondées par Michel Reynaud en 1990. Cette vaste entreprise de mémoire couvre aussi bien la Seconde Guerre mondiale que la guerre d’Algérie, et depuis peu, la Première Guerre mondiale. De nombreux historiens et témoins ont déjà rejoints notre association : c’est notre fierté ! En 2002, les Amis de Tirésias ont, entre autres, organisé plusieurs dîners littéraires, qui connurent un grand succès, autour d’un auteur du catalogue des Éditions Tirésias. Nous voulons, pour l’année 2003, continuer ces rencontres et permettre à de nombreuses personnes de s’exprimer ou d’échanger avec un auteur. Par ailleurs, le bureau a lancé une grande campagne de parrainage à l’attention des collèges et des lycées en les dotant d’ouvrages de la prestigieuse collection “Ces Oubliés de l’Histoire” .D’autres projets sont en gestation, et c’est pourquoi nous avons besoin de nouveaux adhérents, de votre soutien, pour les mettre en œuvre. Plus nombreux nous serons, plus notre travail sera efficace et notre raison d’être évidente. Notre tâche est loin d’être la plus aisée, il s’agit de lutter pour garder une identité propre dans l’optique d’offrir sur le champ des débats et de la discussion des idées nouvelles. Si toute idée vous vient, si toute initiative vous paraît nous être profitable, si vous connaissez ou pensez que des personnalités peuvent être de notre combat, informez-nous, nous sommes avides de savoir votre engagement auprès de nous.
Tirésias Éditions été créée pour soutenir et faire connaître le travail sur les oubliés de l'Histoire des Éditions Tirésias, fondées par Michel Reynaud en 1990.