Jan Saudek est né en Republique Tchèque en 1935, vive est travail à Prague. Jan Saudek a 71 ans en 2006. Ses photos sont le plus souvent des portraits, ou plutôt des mises en scène de personnages.
Biographie par Jan Saudek. Traduction depuis le tchèque.
– 1935 ma mère a un fils Karel et moi immédiatement après, en tant que certain genre de la deuxième portion, et ainsi je suis prédestiné pour passer toute ma vie comme numéro 2.
– 1935 directement après ma naissance mes images de prise de famille de moi comme celles qui sont prises de chaque bébé. Plus tard je photographie elles : la tentative humaine instinctive de garder un souvenir d’eux 1939 j’imagine je vois qu’ Adolf Hitler en mars dans un des réservoirs allemands entrant dans Prague (mais c’est le plus probablement un soldat avec une moustache semblable).
– 1943 j’a lu le voyage de Celine à la fin de la nuit pour la première fois. Je ne comprends pas une grande partie - mais je suis fortement attiré à son modèle.
– 1944 oû je vois la mort de personnes. Par le bord de la route dans les domaines, projectile mort. Parfois leurs jambes contractent toujours, comme dedans un film. Ils meurent et ook comme si fait de la cire, ou du plâtre. Je les regarde longtemps et me ferme, la manière que un enfant fait.
– 1945 j’ai un désir animal de l’amour physique - mais il disparaît sans réponse : Je regarde toujours cinq ans plus jeune que je suis les cordes. -
1945 de foule de A vers le haut d’un garçon soldat allemand par ses jambes d’un lampadaire. Même un enfant comme moi peut voir qu’il est du Wehrmacht, et pas d’un homme de solides solubles. Ils versent l’essence au-dessus de lui et placent la lumière à lui, hurlant : Mutti, Mutti !. C’est l’innocent qui payent chaque guerre.
– 1946 dans un certain colis de cadeau ou autre d’Amérique que je trouve un journal avec une section comique de dimanche, qui a été employée comme s’enveloppant. Je dévore les bandes ainsi que la nourriture étrange : Li 1 Abner, Capitaine émerveiller, Esprit... Je suis près de me avec l’admiration.
– 1947-1950 dans les copies du magasin de la vie vois le reportage au sujet d’Eva Perà ?n par Margaret Bourke-Blanc, Eugene Smith et Giselle Freund. En Gisella.
– 1977 Freund me donnera le Rolleiflex qu’elle a employé à la photographie Eva Peron. Je l’emploie à ce jour. Ne pleurent pas pour moi l’Argentine.
– 1948 dans un livre que je trouve des reproductions par hasard du travail du pollock de Jackson, Rockwell normand (quelle combinaison !) et images par Wyeth : Je suis brisé. À ce moment-là dans ma patrie ils commencent à peindre des tableaux de la façon de Komar et de Melamid mais complètement sérieusement. J’avais essayé de les trouver quelque part pendant des années, mais ils n’existent plus. Mais je suis sûr que les pollocks ont duré 1949 oû je monte ma première motocyclette (un CZ 125).
– 1950 je pénètre une femme. Mais seulement pendant un moment. Je dois attendre de bonnes trois années plus. Et égalisez alors moi ne font pas bien mieux. Le début des années 50 - Frankie Laine chante et je suis captivé. Mais la radio d’avant-guerre du papa n’accordera pas dedans correctement : elle obtient a poinçonné.
– 1950 oû j’obtiens mon premier appareil photo, un brownie de bébé de Kodak. Cela fonctionne parfaitement et je l’emploierais aujourd’hui s’ils faisaient toujours les films qui l’adaptent
– 1951 oû je compose ma première photo, que je colore plus tard dedans. Sans plus légère hésitation notre médecin de famille, à qui ma mère montre très timidement la photo, la prononce kitsch désespérément mauvais, complet et total, et à ce qui est plus démodé. Je crois chaque mot et cesse immédiatement de prendre des photos. (des ans après je trouve la photo encore : elle est belle, de la manière qui être jeune est beau ! Je ne saurais pas à faites l’aiment cela maintenant ! J’ai perdu la photo encore - mais au moins je l’ai vue juste une fois de plus - et c’est assez. Juste une fois, juste une fois...).
– 1953 toujours une vierge, je fais l’amour à une autre vierge. Ce doit être un moment merveilleux dans la vie de l’amour d’une personne. Et bas et voyez : nous fractionnons peu de temps après. Pour des âges. Pour bon.
– 1955 dans l’armée sur des manoeuvres de nuit je suis expédié avec un certain message ou autre et tombe en route dans un piège avec les fabrications fines étirées à travers lui. Pendant des heures jusqu’au matin, je lutte désespérément pour obtenir librement. Pour la première fois je me sens délaissé - et depuis lors je n’ai senti rien autrement.
– 1956 immobilises dans l’armée, quelque part sur la frontière occidentale, j’entends le tapotement Boone sur les forces Nctwork d’Américain de Munich chantant quand j’ai perdu mon bébé. Sa voix est si légère et normale ! Nos chanteurs de charme de la période chantent dans des voix stentorian comme dedans un opérette.
– 1958 avec mon frère, je monte un scooter italien se modelant sur les grands films italiens. Ici dans le nord lointain, nous rencontrons l’incompréhension terrifiante, les insultes et les battements souvent égaux. Ce sérieux de bovin règne à ce jour : personne ne sourit et tout le monde met dessus une expression très occupée et inquiétée.
– 1959 que ma jeune épouse me donne mon premier vrai appareil photo un FLEXARET 6x6 je l’emploie toujours - celui qui l’a donné a disparu la copie des années 60 A de la famille d’exposition des chutes de l’homme dans mes mains. Je suis enchanté et je deviens déterminé que photographie de volonté de I moi-même le même genre de livre concernant la famille de l’homme. Roy Orbison chante à cette période, et les pierres de roulement me chantent ne peuvent obtenir aucune satisfaction. Elle a un impact terrible sur moi. Je danse le roulement vraiment sauvage du un de roche. Parfois mon danser associé ivre ne peut pas prendre mes singeries et jets frénétiques vers le haut partout je. (vingt-six ans après d’I sec que ce que j’essayais de danser lui a été finalement inventé s’appelle la danse de coupure).
– 1965 je lis l’épreuve de Kafka - je suis laissé essoufflé.
– 1988 j’ai lu la légèreté Insupportable d’être dans une séance de tout nuit. (et en anglais, trop) - et l’histoire se répète la fille 1966 de A avec le nom étrange de Bojmira tourne son âne nu invitingly vers moi. Lorsque je n’ai pas su quoi faire de lui, plus tard je l’ai recherché unceasingly.
– 1966 sur la radio j’entends le chant de Bob Dylan Blowin dans le vent. Je ne peux pas suivre les mots trop bien, mais je me rends compte immédiatement que j’écoute quelqu’un qui va influencer une génération entière
– 1969 oû je me tiens dans une rue américaine, la quarante-deuxième rue à New York. Seulement. Et j’ai été seul eder depuis. Quand je retourne à la maison mes enfants ne m’identifient pas
– 1969 dans le nord-west que je foire Cantique entends de Simon et de Garfunkel chant Scarborough pour la première fois. la chanson me ravira pendant encore 14 années.
– 1970 après une extrémité échouée du mariage I vers le haut dans une cave - juste pendant un moment jusqu’à ce que j’obtienne au-dessus d’elle. Il y a égoutture de l’eau en bas des murs, la nuit oû j’entends des morceaux du plâtre imbibé tombant. Je resterai là 7 ans. (au début des années 70 mon Veronika vient à la cave : découvert, enceinte, abandonné - tous par moi !).
– 1971 toute la nuit désirent ardemment, jusqu’au matin, je pleurent pour un de mes enfants (David soutenu dans 19G6). On m’effraye que cela il mourra. Il continue à vivre - mais je l’ai perdu.
– 1972 oû je trouve mon mur - mais n’a jusqu’ici aucune idée comme elle importante va être pour moi.
– 1973 j’essaye de peindre et écrire. Le verdict des autres est unanimes c’est de la merde. Le silence total entoure mes photos dans ma patrie. Plus tard je me rends compte que ce n’était pas méchanceté, absolument personne a entendu parler de moi).
– 1974 oû je rencontre Jana D. - pour la première fois je rencontre le vrai mépris pour des valeurs morales.
– 1975 j’engendre un enfant par Veronika d’odeur agréable. Pendant le processus elle perd la conscience que je suis effrayé elle va mourir. Mais elle vient en rond encore sans n’importe quel ennui.
– 1975 oû j’entre vers le haut dans les montagnes. Je vais par me et me perds, mais j’entaille obstinément ma voie par le pin épais frotte. Soudainement il me frappe que j’ai atteint un endroit oû aucun être humain n’a jamais été, et oû, si je mourais ici, personne ne me rechercheraient ou me trouveraient.
– 1976 mai à juillet. Je suis dans l’amour avec une fille rouge d’une chevelure - et quarante autres ! Les aides n’est pas encore de mode.
– 1976 la mère de deux de mes petites matrices d’enfants. Elle est bientôt oubliée. Oh immobile s’ennuient d’elle ! Qui sait quand je la reverrai... Mon père meurt trop : il a eu un long et peut-être même une vie heureuse. Je pouvais au moins dire au revoir à lui.
– 1977 de la poitrine de la nuit peu de terres de Zuzanka dans ma cave. Elle avale des pilules, mange du chocolat.
– 1977 oû je me réveille la nuit avec des larmes dans mes yeux. Demi d’endormi, je fais une note sur le mur et tombe pleurer endormi encore. Le matin le mot AUSCHWITZ est sur le mur.
– 1978 oû je prends des barbituriques - rêve de un des feuilles.
– 1979 de Zuzanka de paradis. Quand je lui ai demandé pourquoi elle avait collé avec moi tellement longtemps, elle a dit : puisque vous n’avez jamais posé des questions.
– 1980 je gagne mon premier 1.000 dollar, qui est autant que le salaire de mon année entière en tant que travailleur, que je continue de toute façon à être.
– 1983 j’ai battu le meilleur coureur dans notre groupe dans une course de fond (8 kilomètres). Plus tard ils expliquent que il n’est vraiment pas que bon un coureur. Smashers d’illusion...
– 1984 mon servitude interminable dans l’usine est excédent : Je reçois (miraculeusement) une carte d’adhésion pour les fonds des artistes visuels tchèques. Je suis libre. Mais mon patron exige que je serve hors de 9 mois de notification - sa droite légale. Mais quels sont trois quarts supplémentaires d’une année de la servitude injustifiée et sans signification comparée aux 33 années précédentes. Trouvaille.
– 1985 de moi-même sur une plage nue : confus par la beauté et la misère des êtres humains, tous les nous.
– 1985 je suis assigné un petit grenier à plat : un cabinet noir, un lit et une table que tous que j’ai besoin. Je vis toujours là aujourd’hui fille.
– 1986 d’dix-neuf-année de A la vieille dit à moi avec la sincérité complète qu’elle ne peut pas croire que les personnes âgées (40-50) peuvent immobile la font. Et je me rappelle mon propre journal intime adolescent, en lequel j’ai écrit au sujet de la dame de nettoyage : la vieille fille obtenue les ôtes encore à quarante.
– 1986 m’essaye le suicide. Je n’ai jamais été complet. Ceci tourne mal aussi. C’est la première fois que ma paresse m’a aidé.
– 1987 que ma petite amie me dit que nous avons un bébé. Que, je pense, serais une bonne excuse pour que nous obtiennent.
– 1987 mieux au courant mon épouse promet que si je n’effectue pas des paiements réguliers elle m’aura mis dans un hôpital psychiatrique, oû ils feront vraiment un fou de moi. Je me sens comme si j’ai le coeur quelque chose de semblable.
– 1987 au milieu de la bosse de la nuit dans mon une fois fille de favori, Karolàna. Nous ne nous identifions pas. Je me rappelle la pendant qu’un enfant et elle se rappelle m’en tant que jeune homme foncé d’une chevelure - maintenant nous ne sommes ni l’un ni l’autre.
– 1987 que ma famille saisit tous mes négatifs. Je suis soumis au chantage sur une échelle grande. Au cours de la tirer avec effort de guerre au-dessus des négatifs j’entends la vérité non vernie plate au sujet de me : Je suis un imbécile, un idiot et je ne ferai jamais un artiste comme Anderle. Il est juste comme je toujours suspecté ! Cinq mois plus tard je leur récupère la période oû j’étais sans négatifs étais probablement la plus mauvaise période de ma vie.
– 1988 je deviens un candidat pour l’adhésion de l’association des artistes visuels. Pas encore un membre, mais un prétendant pour l’adhésion. C’est le plus bas le sonner dans la hiérarchie des titres que les artistes distribuent parmi eux-mêmes, je suis un seul carlingue garçon sur un bateau pendillant environ sur une mer paresseuse.
– 1988 j’essaye d’écrire un portrait dans la lumière : la similarité de la dévotion d’amour, et de la fidélité jusqu’à la tombe. Le visage de la maison que j’ai voulue mais n’aurai jamais. Je suis incapable d’éprouver toute cette, mais je sais le dépeindre. Je regarde vers l’horizon ombragé. Beyong il femmes d’attente, morceaux d’or et renommée
– 1989 toute une soirée de l’amour avec Monika, dont le deuxième nom je n’ai jamais su. Un corps de beauté inexprimable - et d’intérieur il tout un ordinateur : pendant les rapports sexuels elle fraîchement m’observe et pense aux nouveaux jeans qu’elle obtiendra de moi. Bien, j’ai voulu l’avoir ! Je me rappelle qu’elle à cette jeune fille.
– 1990 française du jour A me reproche pour avoir les ongles sales, ne changeant pas mes sous-vêtements et une fois que même pour être bu- elle me donne le lait trop bon pour exister.
– 1991 oû je dîner dans le meilleur restaurant de Paris. Commente de sorte que le vin rouge devrait être servi à la température ambiante aient été des mensonges juste comme tous qu’ils avaient l’habitude de dire à moi à la maison : elle est servie très frais, le meilleur au monde.
– 1991 mon amoureux français que Nathalie est remplacé par une beauté de Moravian. C’est un cas classique. Quand elle vieillit (31) elle est remplacée 1992 plusieurs personnes m’identifient dans la rue et demandez mon autographe : Je suis chanceux, mais je fais attention pour ne pas commencer à tourner avec joie comme un derviche.
– 1993 la compagnie de film de Febio à me choisir pour le projet de GEN (100 Tchèques d’aujourd’hui). C’est le plus grand (et le seul) honneur que j’ai reçu à la maison dans ma vie. C’est parce que l’établissement, vieux et nouveau, ne donne jamais à un rien pour moi l’OH.
– 1993 oû j’ai oublié ! Même mon amour a disparu ! Elle avait été malade pendant longtemps.
Ce matin, quand elle a cessé la vie, je suis allé à la vallée, traversée le pont et montée jusqu’à au sommet fin et observée le courant de fleuve lavant tout loin : mes espoirs, rêves et promesses, mais également peine et saleté. Et j’ai vu comment le soleil se levant a été reflété dans le fleuve ; le soleil qui brille sur toutes les choses : sur le bon et mauvais écoulement, fleuve, écoulement...
– 1998 j’exhibe mes photographies pour la dernière fois dans mon pays - les bénéfices (7 millions et 200 mille couronnes) que je donne loin pour la charité. Il y a trop d’imitateurs - je ne veux montrer la manière à n’importe qui plus.
– 1999 oû je décide de faire 100 poussées - je suis parvenu à faire 80 en deux ans (2001). Je crois que je pourrai la contrôler dans des années - avant que je vieillisse. Ho de Ho !
– 2001 Et au delà de l’horizon, qui coupe l’image dans la moitié rien mais au delà de plus un nouveau jour et quelque part hors là des femmes, des morceaux d’or et de l’air de renommée que je n’y arriverai pas. Mais au moins je peux regarder dans cette direction. Et c’est assez. Ainsi j’examine la distance stupéfiante, espérant voir l’étincelle d’un étions de tenir le premier rôle, une lumière montrant du doigt lointaine. À travers l’abîme des années, et identification et obscurité que j’ai toujours continué à regarder. J’examinerai toujours l’obscurité, sois toujours sur la surveillance pour le vois cette réflexion - je vous ferai savoir...
– 2004 oû j’aide à la naissance d’enfant - dans un clignotement d’un oeil j’ai compris que tout j’avais considérée important était seulement une illusion sans importance et j’ai reconnu pour toujours (honnêtement je ne l’avais pas sue) quels amour et maternité est : un et la même chose.
– 2005 Questions de maison d’édition de Slovart un livre exquis de mes images. En même temps mon ami Sara m’a donné un présent pour mon soixante-dixième anniversaire - elle a préparé une grande exposition. Le livre a été immédiatement vendu dehors et il y a une autre édition. Je me demande si elle signifie n’importe quoi.
– 2006 après un long, presque interminable, ignorant par des bigwigs j’obtiens la récompense la plus élevée Artis Bohemiae Amicis des mains du secrétaire de la culture ainsi que les auteurs Vladimàr Körner et Milan Kundera pour la contribution à notre pays ? réputation de s. Je veux faire un livre des portraits des personnes célèbres. En même temps je promets le directeur national de théâtre pour finir cent portraits des membres des sections de drame, d’opéra et de ballet en neuf mois. À la fin de l’été puisse à faire douze tirer se lève sur l’étincelle au-dessus du support et hanche-balancer vers le haut à l’extrémité.
– 2006 Publication du livre Jan Saudek new de Jan Saudek, Daniela Mrázková. Editeur : Taschen New Ed (14 Sep 2006) -
– 2005-2006 Expositions :
– Prague - du 21 septembre, 2005 au 30 septembre, 2006
– Cesky Krumlov - du 25 june au 31 octobre, 2006
– Prachatice - du 5 octobre au 31 décembre, 2006
Bibliographie Jan Saudek
– Aperture Aperture Nr. 89 1982 0-89381-112-2
– Il teatro della vita Selezione d’Immagini Milan 1981 31-0015-4
– Svobodnà, Aenatà, rozvedenà ? vdovec Nakladatelstvà Slovart 80-7209-232-4
– Realities Arena Editions 2003 1-892041-61-8
– Love as a four-letter word BB art 80-86070-85-9 -
– Saudek - Aivot, láska, smrt a jiné takové podruanosti Nakladatelstvà ? Slovart 1997 80-7209-046-1
– Jan Saudek Galerie Mennour 1999 - New édition 2005
– 35 Jahre Fotografie - Jan Saudek Fotografie Forum Frankfurt 1986
– Eros Fotografia Gruppo Editoriale l’Espresso 2003
– Jan Saudek Taschen 1997 3-8228-7916-9
– Celibataire, marié, divorcé, veuf Parangon 2-84190-077-0
– Jan Saudek Taschen Verlag Koln 1998 3-8228-7429-9
– Jubilations and Obsessions Rosbeek Publishers msterdam 1995 90-5621-005-X
– Theater des Lebens Panorama 11-079-91
– Dopisy Nakladatelstvà Slovart 80-8000-657-4
– Photographs 1987-1997, de Jan Saudek 2005 -
– Jan Saudek new, de Jan Saudek, Daniela Mrázková. 2006 -