L’exposition suit une route, celle empruntée d’abord par Arthur Rimbaud
au crépuscule du XIXe siècle, puis réempruntée par Éric Guglielmi sur les traces du poète à l’aube du XXIe. Alexandrie, Attigny, Le Caire, Calais, Charleroi, Civitavecchia, Deville, Harar, Hargnies, Les Hautes-Rivières, Laifour, Londres, Monthermé, Obock, Ostende, Renwez, Roche, Rome, Tadjoura, Voncq… Ces images d’aujourd’hui se rendent complices des métaphores d’hier. C’est aussi simple qu’une phrase musicale.