Après avoir eu la possibilité de photographier le site de Renault à Boulogne-Billancourt en 1993 au moment de sa fermeture définitive, l’opportunité de pouvoir y retourner en 2003, soit dix ans après, était pour Stéphane Couturier, l’occasion de reparcourir ce lieu juste avant sa démolition.
Ce second volet du travail permet de découvrir ce qu’il reste du squelette de cette immense machinerie. Ce deuxième portfolio sur les usines Renault lui permet de poursuivre sa recherche sur l’entre-deux temporel d’un lieu entre décomposition et réactivation.
Les derniers vestiges d’un véritable monument de l’industrie sont littéralement stratifiés. Chaque couleur, matière, trace et indice participent de cette quasi mise en scène de ce lieu hors normes.
Cette exposition fait partie des Rencontres photographiques du 10e arrondissement de Paris 2009
Portfolio Renault-Billancourt #2. Après avoir eu la possibilité de photographier le site de Renault à Boulogne-Billancourt en 1993 au moment de sa fermeture définitive, l’opportunité de pouvoir y retourner en 2003, soit dix ans après, était pour Stéphane Couturier, l’occasion de reparcourir ce lieu juste avant sa démolition.
Ce second volet du travail permet de découvrir ce qu’il reste du squelette de cette immense machinerie. Ce deuxième portfolio sur les usines Renault lui permet de poursuivre sa recherche sur l’entre-deux temporel d’un lieu entre décomposition et réactivation.
Les derniers vestiges d’un véritable monument de l’industrie sont littéralement stratifiés. Chaque couleur, matière, trace et indice participent de cette quasi mise en scène de ce lieu hors normes.
Dans la série consacrée à la Villa Noailles, Stéphane Couturier continue sa recherche sur la représentation d’espaces en mutation.
Il a réalisé l’ensemble des prises de vues en 1996, juste avant que la Villa ne soit réhabilitée.
Entre présence et absence, ses visions de la villa nous dévoile l’architecture de Robert Mallet-Stevens sous des angles inhabituels dans lesquels la géométrie paraît bouleversée.
Entre horizontalité et verticalité, la vision frontale qu’il nous donne à voir, perturbe notre perception de ce qui nous paraissait stable. Volumes et espaces paraissent être rassemblés comme dans des collages, mêlant matières, couleurs et traces du passé prestigieux de cette villa.
– Tiré à trente exemplaires, chaque Portfolio se compose de huit photographies originales, format 78 x 54 cm, signées et numérotées par l’auteur.
– Impression numérique réalisée par l’atelier Philippe Guilvard à l’aide d’encres encapsulées à pigment sur un papier Arches, Velin Museum Rag 315g, Canson.
– Le coffret est réalisé par les ateliers Dermont Duval.