Voici un concentré de l’oeuvre de Klein commenté par William Klein, jeune homme de 90 ans. Dans ce livre construit comme un journal de bord, la "voix off" de Klein ponctue une centaine d’oeuvres. Le pape de la street photographyse révèle à 90 ans aussi génial et provocateur qu’à ses débuts. À en croire William Klein, les coups de poker rythment (…)
À l’avènement des premières lignes du métropolitain parisien, la photographie fête son demi-siècle d’existence. Elle est définitivement sortie de sa protohistoire et des débats académiques sur son statut contesté de discipline artistique, pour s’imposer comme un médium aux multiples facettes à même de rendre compte de la diversité du réel. (…)
– Walker Evans (1903-1975) est un photographe américain. On connaît notamment son travail sur la Grande dépression, contribution au programme de la Farm Security Administration. Les images de métayers dans l’Alabama, au même titre que celles de Dorothea Lange, comptent parmi les icônes du monde moderne. On remarque dans son travail les regards (…)
William Klein - Contacts - série limite édition de luxe sous coffret On ne présente plus le très célèbre photographe, cinéaste, peintre, graphiste américain William Klein. Des parutions aussi importantes que New York 1954-55, Tokyo, Moscou, Paris + Klein ont fait le tour du monde dans toutes les langues. Ses expositions dans le monde entier (…)
“William Klein retrospective” de William Klein : le Centre Georges Pompidou à Paris consacre à William Klein, sa première grande exposition rétrospective. A cette occasion, le livre William Klein retrace en 400 pages le parcours de l’un des plus grands photographes actuels. Chaque grande série que William Klein a réalisée à partir de son (…)
En 1956, après la publication de son célèbre journal photographique sur New York, William Klein, peintre, graphiste et photographe arrive à Rome sur l’invitation de Federico Fellini, qui l’engage comme assistant réalisateur sur “Les Nuits de Cabiria”. C’est l’occasion pour Klein, armé de son appareil, d’explorer les moindres recoins de la cité (…)
Polka Magazine, qui existe depuis 2008, sort son numéro d’été 2009 et expose dans le même temps les photographes que l’on retrouve dans ce numéro #5 : – William Klein revient à la fois sur ses images des grandes mégalopoles et sur le monde de la mode qu’il a cotoyé. – Robert Delpire, à l’honneur des Rencontres photographiques qui se (…)
Le numéro d’été de Polka magazine, la revue trimestrielle de photojournalisme, sort en kiosque le 29 mai 2009. Au programme de ce cinquième numéro de 132 pages : – un portfolio de William Klein, qui revient à la fois sur ses images des grandes mégalopoles et sur le monde de la mode qu’il a côtoyé. – Un « album de familles » anonyme (…)
Parti en Europe en 1948 faire son service militaire, William Klein ne revient aux Etats-Unis que sept ans plus tard, en 1954, après avoir épousé Paris (oû il revient bientôt et vit toujours), l’atelier de Fernand Léger (il se destinait à la peinture) et une Française, Jeanne Florin. New York, le journal photographique de son retour, est édité (…)
William Klein (né le 19 avril 1928 à New York) est un peintre, réalisateur de films et photographe américain. Il est parfois surnommé bad boy. Il vit et travaille à Paris.
En photographie, il a réalisé des livres marquants ayant pour thème des grandes villes : New York, Rome, Moscou, Tokyo et enfin Paris, où il vit depuis 1948 et qu’il aime cosmopolite, multiculturelle et multiethnique. Il a influencé des artistes comme Helmut Newton, Frank Horwath, David Bailey et Jeanloup Sieff. Il a aussi révolutionné le genre de la mode.
Fils d’immigrés juifs, William Klein fait des études de sociologie puis effectue son service militaire. Le 13 juillet 1947, il se rend pour la première fois à Paris, en tant que G.I., et tombe amoureux de « la plus belle fille de Paris ». Peu après il entre dans l’atelier de peinture d’André Lhote (comme Henri Cartier-Bresson), puis dans celui de Fernand Léger. Il part vivre à La Garenne-Colombes et épouse Jeanne Florin.
Il entame une carrière de photographe, commence en parallèle à réaliser des courts-métrages et travaille avec Louis Malle sur Zazie dans le métro.
Au début des années 1950, Klein expose des peintures géométriques abstraites. À côté de cela il tient un journal photographique, tout ce qu’il y a de plus figuratif - Chris Marker réussit à le faire éditer au Seuil, le livre est ensuite récompensé par le prix Nadar. Fellini l’invite pour devenir assistant, Klein en revient avec son album de photos Rome. Au début des années 1960, il tourne plusieurs émissions pour l’émission Cinq Colonnes à la une, notamment Les Français et la politique qui sera censurée.
Pour ses photos de mode, il a réellement révolutionné le genre : ses mannequins n’ont pas les mains sur les hanches et leurs pieds ne prennent plus la position de danseuse classique. Un parfum de scandale entoure son œuvre.
Sa carrière de cinéaste est marquée par l’engagement, notamment auprès des Noirs dont il soutient les luttes pour exister au travers de personnages comme Mohamed Ali, Little Richard ou Eldridge Cleaver.
En 1983 et en 2005, le Centre Pompidou lui consacre une exposition.