Ce n’est pas moi qui clame, c’est la terre qui tonne, de Bruno Dubroqua au Centre Iris...pour la photographie. Cette exposition de Bruno Dubroqua présente des tirages noir et blanc issus d’un traitement spécifique au Polaroïd 665. Le processus de développement initie le début de la carrière du photographe qui opte pour une démarche aléatoire.
« Quand on me demande d’écrire sur mon travail, je réponds que, si je suis devenu photographe, c’est justement parce que je ne sais pas écrire par Bruno Dubroqua ». Cette exposition de Bruno Dubroqua présente des tirages noir et blanc issus d’un traitement spécifique au Polaroïd 665. Le processus de développement initie le début de la (…)
Ce n’est pas moi qui clame, c’est la terre qui tonne, de Bruno Dubroqua au Centre Iris...pour la photographie. Cette exposition de Bruno Dubroqua présente des tirages noir et blanc issus d’un traitement spécifique au Polaroïd 665. Le processus de développement initie le début de la carrière du photographe qui opte pour une démarche aléatoire.
Ce n’est pas moi qui clame, c’est la terre qui tonne, de Bruno Dubroqua au Centre Iris...pour la photographie. Cette exposition de Bruno Dubroqua présente des tirages noir et blanc issus d’un traitement spécifique au Polaroïd 665. Le processus de développement initie le début de la carrière du photographe qui opte pour une démarche aléatoire.