Horizons, de Antoine Gonin, Michel Racine. Autant dire qu’il y a dans ses photos de sites connus, et que l’on peut croire usés par le trop d’images, une puissance onirique où s’entremêlent la mosaïque de nos expériences des lieux et le jamais vu.
Horizons, de Antoine Gonin, Michel Racine. Autant dire qu’il y a dans ses photos de sites connus, et que l’on peut croire usés par le trop d’images, une puissance onirique où s’entremêlent la mosaïque de nos expériences des lieux et le jamais vu.
Autant dire qu’il y a dans ses photos de sites connus, et que l’on peut croire usés par le trop d’images, une puissance onirique où s’entremêlent la mosaïque de nos expériences des lieux et le jamais vu. Cette impression physique devant des nuages aux formes souvent sensuelles, une sensation de vertige, je l’ai ressentie la première fois que (…)