A la fin de l’année 1975, installée depuis peu à Paris, Jane Evelyn Atwood réalise son premier reportage photo, en noir et blanc, dans une écriture à la fois simple, efficace et sensible. D’une (…)
Farouchement libre et indépendante, l’Américaine Jane Evelyn Atwood, parisienne d’adoption, fait preuve depuis plus de trente ans d’une clarté radicale quant aux raisons qui l’ont conduite à (…)
La prison est un lieu où la société enferme non seulement des personnes, mais aussi ses peurs, comme si la sécurité générale pouvait être appréciée à l’indice du nombre des détenus. Une (…)
Jane Evelyn Atwood a commencé à photographier les femmes incarcérées en 1989 ; sur une période de près de dix ans, elle est parvenue à obtenir l’accès des prisons les pires au monde, y compris le (…)
Annette Lucas et la photographe Jane Evelyn Atwood publient un livre intitulé A contre-coups, témoignage engagé sur la violence faite aux femmes. Annette Lucas et Jane Evelyn Atwood ont parcouru (…)
L’Haïti de Jane Evelyn Atwood rompt radicalement avec l’imagerie de violences et de misère que l’actualité impose régulièrement pour évoquer ce pays caraïbe. Fasciné par ce peuple “incroyablement (…)
Comme a son habitude, Jane Evelyn Atwood a mené à bien un projet qui lui tenait particulièrement à cœur, sur les victimes des mines antipersonnel. Sentinelles de l’ombre a été réalisé en soutien (…)
Le photo poche Extérieur nuit consacré à la photographe américaine Jane Evelyn Atwood contient ses meilleurs clichés d’aveugles, projet initié dans les années 1980 et pour lequel elle a reçu le W. (…)
Jane Evelyn Atwood est une photographe américaine, née à New York en 1947 et vit en France depuis 1971. Jane Evelyn Atwood à d’abord travaillé dans la tradition de la photographie documentaire, et parfois pendant de longues périodes, sur des individus ou des groupes de gens en marge de la sociéte. Jane Evelyn Atwood est l’auteur des pluseiurs livres, dont deux consacrés à des prostituées à Paris, un à la Légion Étrangère française, "Extérieur nuit", paru dans la collection Photo Poche Société, aux éditions Nathan, sur les aveugles. En 2000 sort "Trop de Peines, Femmes en prison", aux éditions Albin Michel ("Too Much Time, Women in Prison’’, chez Phaidon Press Ltd). Différents prix internationaux ont distingué ses travaux en 1980 elle à été lauréate de la prernère bourse de la Fondation W. Eungene Smith pour son sujet sur les aveugles. Son reportage "Jean Louis, vivre et mourir du Sida", à l’occasion duquel elle a accompagné jusqu’à sa mort l’homme qu’elle photographiait. Ce reportage lui a valu en 1987 un prix de la Fondation du World Prese Photo d’Amsterdam. Elle a reçu en 1990 le Grand Prix Paris Match du Photojournalisme pour un sujet sur les prisons de femmes en Urss qui lui a valu également le prix du Canon Photo Essay 1991. En 1994 une bourse de 1a Fondation Hasselblad en Suede ainsi que le Ernest Haas Award, organisé par le Maine Photographic Workshops, aux Etats-Unis, lui permettent d’étendre son travail sur les prisons de femmes à plusieurs pays dans le monde. En 1996, elle gagne le Grand Prix du Portfolio, décerné par la SCAM (Société Civile des Auteurs Multimédias). Leica Camera lui attribue le Prix Oscar Barnack pour ce travail sur des prisons en 1997, et en 1998, elle gagne le Prix Alfred Eisenstadt. Cette méme année, l’ensemble de ses images sur les prisons de femmes sont exposées pour la première fois à la Maison de la Villette dans le cadre du Mois de la Photo à Paris. Les photographies de Jane Evelyn Atwood sont exposées régulièrement en France et à l’étranger.