"I Love You" est l’hommage photographique de Mario Testino au mariage et à tout ce qu’il représente. Une déclaration d’amour, un regard posé sur l’émotion des futurs époux, les préparatifs, les rites entre amis, les fêtes exceptionnelles chaque image raconte le rêve unique d’une vie nouvelle à inventer. Dans "I Love You", Mario Testino célèbre le mariage. (...)
Grills incrustés de diamants, « chaînes en or qui brillent », montres Rolex et Patek Philippe ou colliers Tiffany, la joaillerie est une pierre angulaire de la culture hip-hop. Les bijoux outranciers sont l’éblouissant signe extérieur d’une identité collective qui s’affirme sans complexe ni demi-mesure et d’un charisme qu’imprègne la sagesse du bitume. (...)
Soixante-dix ans d’histoire Dior projetés contre l’effervescence de Times Square, New York : tel était le concept derrière le projet de Lindbergh, extraordinaire tant par sa portée que par sa dimension, pour lequel Dior, dans un geste inhabituel, a permis de prendre un nombre sans précédent de vêtements inestimables. de ses voûtes à Paris et expédié (...)
Peter Lindbergh et Azzedine Alaïa, le photographe et le couturier, se sont retrouvés dans l’affection pour le noir, qu’ils cultivent de manière égale en tirages argentiques et en aplats vestimentaires. Lindbergh n’a cessé de faire appel au noir et au blanc pour incarner sa recherche d’authenticité dans les visages qu’il mettait en lumière. Alaïa puise (...)
Toute première exposition dont Peter Lindbergh fut lui-même le commissaire, peu de temps avant sa disparition, Untold Stories initiée par le Kunstpalast de Düsseldorf, sert de toile de fond à la créativité et au regard débridés du photographe. Doté d’une liberté artistique totale, Lindbergh a réuni une collection inédite qui jette un éclairage inattendu (...)
La grande aventure de Taschen débute en 1980, quand Benedikt Taschen, alors âgé de 18 ans, ouvre une boutique en Allemagne, dans sa Cologne natale, pour y revendre son immense collection de bandes dessinées. Un an plus tard, il publie déjà ses propres catalogues pour promouvoir ses marchandises, mais il ne percera vraiment dans le monde du livre d’art qu’en 1984. Cette année-là, il rachète les 40 000 invendus d’un ouvrage en anglais sur Magritte et les revend à une fraction du prix initial. S’intéressant très tôt à l’art, Taschen trouve les livres d’art trop chers et difficiles à trouver. Le succès de son entreprise audacieuse prouve qu’il n’est pas le seul à penser que le marché de l’édition d’art doit être démocratisé.
Taschen Éditions. La grande aventure de Taschen débute en 1980, quand Benedikt Taschen, alors âgé de 18 ans, ouvre une boutique en Allemagne, dans sa Cologne natale, pour y revendre son immense collection de bandes dessinées.