Voici un concentré de l’oeuvre de Klein commenté par William Klein, jeune homme de 90 ans. Dans ce livre construit comme un journal de bord, la "voix off" de Klein ponctue une centaine d’oeuvres. (…)
– Walker Evans (1903-1975) est un photographe américain. On connaît notamment son travail sur la Grande dépression, contribution au programme de la Farm Security Administration. Les images de (…)
Bouna et Zyed, deux enfants de Clichy sous Bois, sont morts électrocutés le 27 octobre 2005. Ils s’étaient réfugiés dans un transformateur EDF pour échapper à la police. Ce drame a provoqué la (…)
William Klein - Contacts - série limite édition de luxe sous coffret On ne présente plus le très célèbre photographe, cinéaste, peintre, graphiste américain William Klein. Des parutions aussi (…)
“William Klein retrospective” de William Klein : le Centre Georges Pompidou à Paris consacre à William Klein, sa première grande exposition rétrospective. A cette occasion, le livre William Klein (…)
New York « Je trouvais drôle de traiter les New-Yorkais qui se croient les maîtres du monde comme des Dogons envahis par des anthropologues colonialistes. » En 1954, William Klein revient à New (…)
William Klein fait des études de sociologie puis effectue son service militaire. Le 13 juillet 1947, il se rend pour la première fois à Paris, en tant que G.I., et tombe amoureux de « la plus (…)
Parti en Europe en 1948 faire son service militaire, William Klein ne revient aux Etats-Unis que sept ans plus tard, en 1954, après avoir épousé Paris où il revient bientôt et vit toujours, (…)
William klein photographie : Portefolio. Parti en Europe en 1948 faire son service militaire, William Klein ne revient aux Etats-Unis que sept ans plus tard, en 1954, après avoir épousé Paris (oû (…)
Parti en Europe en 1948 faire son service militaire, William Klein ne revient aux Etats-Unis que sept ans plus tard, en 1954, après avoir épousé Paris (ù il revient bientôt et vit toujours), l’atelier de Fernand Léger (il se destinait à la peinture) et une Française, Jeanne Florin. New York, le journal photographique de son retour, est édité au Seuil par Chris Marker. William Klein (né le 19 avril 1928 à New York) est un peintre, réalisateur de films et photographe américain. Il est parfois surnommé bad boy. Il vit et travaille à Paris. En photographie, il a réalisé des livres marquants ayant pour thème des grandes villes : New York, Rome, Moscou, Tokyo et enfin Paris, ù il vit depuis 1948 et qu’il aime cosmopolite, multiculturelle et multiethnique[réf. nécessaire]. Il a influencé des artistes comme Helmut Newton, Frank Horwath, David Bailey et Jeanloup Sieff. Il a aussi révolutionné le genre de la mode. Fils d’immigrés juifs, William Klein fait des études de sociologie puis effectue son service militaire. Le 13 juillet 1947, il se rend pour la première fois à Paris, en tant que G.I., et tombe amoureux de “la plus belle fille de Paris”. Peu après il entre dans l’atelier de peinture d’André Lhote (comme Henri Cartier-Bresson), puis dans celui de Fernand Léger. Il part vivre à La Garenne-Colombes et épouse Jeanne Florin. Il entame une carrière de photographe, commence en parallèle à réaliser des courts-métrages et travaille avec Louis Malle sur Zazie dans le métro. Au début des années 1950, Klein expose des peintures géométriques abstraites à côté de cela il tient un journal photographique, tout ce qu’il y a de plus figuratif - Chris Marker réussit à le faire éditer au Seuil, le livre est ensuite récompensé par le prix Nadar. Fellini l’invite pour devenir assistant, Klein en revient avec son album de photos Rome. Au début des années 1960, il tourne plusieurs émissions pour l’émission Cinq Colonnes à la une, notamment Les Français et la politique qui sera censurée. Pour ses photos de mode, il a réellement révolutionné le genre : ses mannequins n’ont pas les mains sur les hanches et leurs pieds ne prennent plus la position de danseuse classique. Un parfum de scandale entoure son oeuvre. Sa carrière de cinéaste est marquée par l’engagement, notamment auprès des Noirs dont il soutient les luttes pour exister au travers de personnages comme Mohamed Ali, Little Richard ou Eldridge Cleaver. En 1983 et en 2005, le Centre Pompidou lui consacre une exposition.