Hyper, de Denis Darzacq, Amanda Crawley Jackson. Denis Darzacq se joue de la pesanteur des corps en les opposant à des environnements ordinaires dont il nous donne une lecture désenchantée. La première série Hyper juxtapose l’univers cadré, obsédant, saturé et kitsch des hypermarchés, temples modernes dédiés à la consommation, à des corps lévitant et flottant librement dans l’espace.
Hyper, de Denis Darzacq, Amanda Crawley Jackson. Denis Darzacq se joue de la pesanteur des corps en les opposant à des environnements ordinaires dont il nous donne une lecture désenchantée. La première série Hyper juxtapose l’univers cadré, obsédant, saturé et kitsch des hypermarchés, temples modernes dédiés à la consommation, à des corps lévitant et flottant librement dans l’espace.
La première série Hyper juxtapose l’univers cadré, obsédant, saturé et kitsch des hypermarchés, temples modernes dédiés à la consommation, à des corps lévitant et flottant librement dans l’espace. Comme dans son précédent livre La chute, l’auteur s intéresse aux zones de tension entre conformisme social, marques, standardisation d’une part, énergie désirante (...)
