Le nom qui efface la couleur de Israel Ariños, Sylvie Durbec. Israel Ariño nous fait redécouvrir qu’il n’est point nécessaire de spectaculaire pour s’offrir ce voyage et que l’évasion intérieure se passe de motif. Ses images bâtissent un décor métaphorique aussi bien originel que contemporain : des visages, des paysages, animaux, nuages.
Le nom qui efface la couleur de Israel Ariños, Sylvie Durbec. Israel Ariño nous fait redécouvrir qu’il n’est point nécessaire de spectaculaire pour s’offrir ce voyage et que l’évasion intérieure se passe de motif. Ses images bâtissent un décor métaphorique aussi bien originel que contemporain : des visages, des paysages, animaux, nuages.
“Le nom qui efface la couleur” n’est ni un constat, ni le symptôme d’un monde qui disparaît, que l’on aurait perdu. C’était mieux avant n’a pas cours ici. Le photographe espagnol, Israel Ariño, énonce les possibilités d’une transcendance que la sédimentation des jours nous fait oublier si facilement. Se pencher sur le côté inattendu d’un (…)