J’étais mort, de Grégoire Korganow. Les images sont crues, parfois terribles : le corps déserté par la conscience, le corps dénudé, intubé, le corps qui se vide. Pas de romantisme possible.
J’étais mort, de Grégoire Korganow. Les images sont crues, parfois terribles : le corps déserté par la conscience, le corps dénudé, intubé, le corps qui se vide. Pas de romantisme possible.
Les images sont crues, parfois terribles : le corps déserté par la conscience, le corps dénudé, intubé, le corps qui se vide. Pas de romantisme possible. Le noir et blanc instaure une distance mais nous sommes au coeur du drame, entrés comme par effraction dans le décor banal d’un quotidien. Les frontières habituelles de l’intimité et de la (…)