Je disais que je resterais pas : Mémoire d’immigrés, de Philippe Revelli. Les premiers arrivent en France dans l’entre-deux-guerres. La première, la Grande, a durement frappé le Nord/Pas-de-Calais, paralysé la production de charbon. Ils ou elles sont nés en Pologne, en Italie, au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Turquie ou en Chine. Ils ou elles résident, étudient, travaillent aujourd’hui dans le Nord. Ils ou elles ont ouvert la porte à Philippe Revelli, acceptant de se laisser photographié dans leur intimité.
Je disais que je resterais pas : Mémoire d’immigrés, de Philippe Revelli. Les premiers arrivent en France dans l’entre-deux-guerres. La première, la Grande, a durement frappé le Nord/Pas-de-Calais, paralysé la production de charbon. Ils ou elles sont nés en Pologne, en Italie, au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Turquie ou en Chine. Ils ou elles résident, étudient, travaillent aujourd’hui dans le Nord. Ils ou elles ont ouvert la porte à Philippe Revelli, acceptant de se laisser photographié dans leur intimité.
Ils ou elles sont nés en Pologne, en Italie, au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Turquie ou en Chine. Ils ou elles résident, étudient, travaillent aujourd’hui dans le Nord. Ils ou elles ont ouvert la porte à Philippe Revelli, acceptant de se laisser photographié dans leur intimité. Ils ou elles ont fouillé dans leur mémoire pour ramener à la (…)