L’autre versant de l’éternelle beauté féminine. L’oeil de tout photographe est naturellement aimanté par la beauté des formes féminines. Quel que soit son terrain d’investigation professionnelle, la guerre, la politique, la mode ou la publicité, il cultive le jardin secret d’images souvent inédites entre vie privée et contraintes de reportage (…)
Ces cent cinquante portraits témoignent d’un demi-siècle de création artistique, depuis l’atelier de Paul Cézanne encore empreint de sa présence, jusqu’aux sessions de travail de Jasper Johns à Paris. Le photographie de Robert Doisneau se vit dans un plaisir toujours recommencé, dans une cueillette désordonnée d’images tel que l’illustre cet (…)
Pendant deux mois, en été 1945, Robert Doisneau effectua un reportage photographique en Alsace. Ses images ne montrent cependant ni ruines ni scènes d’épuration, mais une région heureuse, rassemblée autour du drapeau français et du 14 juillet. Une commande qui reste mystérieuse. Un voyage en Alsace, 1945 de Robert Doisneau
Robert Doisneau change de complice. Après Cavanna, c’est Daniel Pennac, l’auteur de La Fée Carabine, de Au bonheur des ogres et de La Petite Marchande de prose. Une fois encore, l’humour rassemble deux hommes sensibles à la saveur d’un certain milieu social : celui des banlieusards et de leurs enfants. Mais cette fois, l’école est finie et le (…)
Près de 10 ans après la dernière histoire générale de la photographie publiée en France, cet ouvrage consacré à l’art et à l’histoire de la photographie entend rendre compte des nouvelles voies empruntées par la recherche. Entièrement reproduite en quadrichromie, l’image ancienne et contemporaine y prend une place inédite dans un ouvrage (…)
La 8e édition des Promenades Photographiques, dirigées par Odile Andrieu, se tiendra du 22 juin au 16 septembre 2012 à Vendôme. Cette année, plus de 20 expositions guidées par La Main de l’homme nous présenteront les photographies de Sebastião Salgado, celles de la section photographique de la Farm Security Administration pendant la Grande (…)
La maison de ventes ADER organise, en collaboration avec ARGENTIC, le jeudi 31 mars à 14h dans sa salle au 3 rue Favart 75002 Paris, sa première vente de livres photographiques de collection. Cette vente réunit près de 300 livres provenant de bibliothèques privées, dont celles de l’écrivain Patrick Roegiers ou de la photographe Yvette (…)
Sortie nationale le 26 août du numèro 6 de Polka ; au sommaire : En Iran, les dernières élections présidentielles ont offert une tribune à l !opposition au régime. Les femmes sont au premier rang de ce mouvement de libération. Depuis des années, Abbas (Magnum) va à la rencontre de ces jeunes Iraniennes entrées en résistance qui se battent, à (…)
Né le 14 avril 1912 à Gentilly (Val d’Oise) dans une famille de petits bourgeois toute vouée à la cause de l’entreprise familiale de plomberie, Robert Doisneau passe une enfance difficile dans une ambiance imprégnée par des valeurs rigides de sérieux et d’application. Robert Doisneau est décédé le 1er avril 1994 à Paris, il aurait eu 82 ans le (…)
Robert Doisneau (14 avril 1912 - 1er avril 1994) est un photographe français, parmi les plus populaires d’après-guerre. Robert Doisneau est probablement le photographe français le plus connu dans le monde entier grâce au « Baîser de l’Hôtel de Ville » les photographies des rues de Paris et de sa banlieue de Robert Doisneau ont fait sa renommée. Robert Doisneau se définissait lui-même plus comme étant un « pêcheur d’images » plutôt qu’un « chasseur d’images ». Doisneau est un passant patient qui conserve toujours une certaine distance vis-à-vis de ses sujets. Il guette l’anecdote, la petite histoire. Ses photos sont souvent empreintes d’humour mais également de nostalgie, d’ironie et de tendresse. Il travaillait sur Paris, ses faubourgs et ses habitants : artisans, bistrots, clochards, gamins des rues, amoureux, bateleurs, etc. ; il enregistra pendant près d’un demi-siècle des milliers de portraits du petit peuple de Paris. Il a participé au Groupe des XV aux côtés de René-Jacques, de Willy Ronis, de Pierre Jahan, dans les années 1950.