Comme tous les grands chefs-d’oeuvre, Versailles est hors du monde. Il y plonge pourtant parce que le ciel change autour du château et de ses jardins, parce que le soleil brille sur eux, parce que la neige les ensevelit. Le propre, et sans doute le coup de génie des photographies de Jacques Dubois et Robert Doisneau qui sont ici réunies, c’est (…)
Pour la première fois, Doisneau entre au musée avec une exposition consacrée à ses années chez Renault. Du 20 mai au 15 août 2005, au musée des Beaux Arts et d’Archéologie de Besançon. Alors qu’il fait des études de graveur lithographe, Robert Doisneau (1912-1994) se passionne pour le graphisme et apprend les rudiments de la photographie. (…)
Il y a bien des manières de donner à voir les années noires. Celle de Robert Doisneau évite le pathos, pour nous parler simplement du grand vide de l’Occupation, de ses rues sans automobile, de ses étalages de pénurie, remplis seulement du maître mot de Vichy : « Factice ». Sensible au cocasse jusque dans les situations les plus pénibles, (…)
Le livre photo La Banlieue en couleur, publié aux éditions Dominique Carré, met en lumière l’architecture banlieusarde des années 1980, dans l’objectif de Robert Doisneau. Robert Doisneau se définissait lui même plus comme étant un « pêcheur d’images » plutôt qu’un « chasseur d’images ». Doisneau est un passant patient qui conserve toujours (…)
Doisneau a fait de l’optimisme une raison de vivre, un exercice pratiqué au quotidien, cent fois mis et remis sur le métier, saisi par un objectif aux aguets. De La Vie de famille aux Grandes vacances et aux Doigts pleins d’encre, ces trois albums réunis en un coffret (et commenté par Daniel Pennac pour les deux premiers, par Cavanna pour le (…)
La 8e édition des Promenades Photographiques, dirigées par Odile Andrieu, se tiendra du 22 juin au 16 septembre 2012 à Vendôme. Cette année, plus de 20 expositions guidées par La Main de l’homme nous présenteront les photographies de Sebastião Salgado, celles de la section photographique de la Farm Security Administration pendant la Grande (…)
La maison de ventes ADER organise, en collaboration avec ARGENTIC, le jeudi 31 mars à 14h dans sa salle au 3 rue Favart 75002 Paris, sa première vente de livres photographiques de collection. Cette vente réunit près de 300 livres provenant de bibliothèques privées, dont celles de l’écrivain Patrick Roegiers ou de la photographe Yvette (…)
Sortie nationale le 26 août du numèro 6 de Polka ; au sommaire : En Iran, les dernières élections présidentielles ont offert une tribune à l !opposition au régime. Les femmes sont au premier rang de ce mouvement de libération. Depuis des années, Abbas (Magnum) va à la rencontre de ces jeunes Iraniennes entrées en résistance qui se battent, à (…)
Né le 14 avril 1912 à Gentilly (Val d’Oise) dans une famille de petits bourgeois toute vouée à la cause de l’entreprise familiale de plomberie, Robert Doisneau passe une enfance difficile dans une ambiance imprégnée par des valeurs rigides de sérieux et d’application. Robert Doisneau est décédé le 1er avril 1994 à Paris, il aurait eu 82 ans le (…)
Robert Doisneau (14 avril 1912 - 1er avril 1994) est un photographe français, parmi les plus populaires d’après-guerre. Robert Doisneau est probablement le photographe français le plus connu dans le monde entier grâce au « Baîser de l’Hôtel de Ville » les photographies des rues de Paris et de sa banlieue de Robert Doisneau ont fait sa renommée. Robert Doisneau se définissait lui-même plus comme étant un « pêcheur d’images » plutôt qu’un « chasseur d’images ». Doisneau est un passant patient qui conserve toujours une certaine distance vis-à-vis de ses sujets. Il guette l’anecdote, la petite histoire. Ses photos sont souvent empreintes d’humour mais également de nostalgie, d’ironie et de tendresse. Il travaillait sur Paris, ses faubourgs et ses habitants : artisans, bistrots, clochards, gamins des rues, amoureux, bateleurs, etc. ; il enregistra pendant près d’un demi-siècle des milliers de portraits du petit peuple de Paris. Il a participé au Groupe des XV aux côtés de René-Jacques, de Willy Ronis, de Pierre Jahan, dans les années 1950.