Passionnée dans les bras de son fiancé, douce et tendre maman, joueuse quand il neige, respectable ou frivole... une Parisienne ne se prive ni de plaisirs ni de coquetterie, mais elle déborde aussi d’énergie pour travailler. Reine du bal, elle entre en résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, descend dans la rue pour militer et défendre (…)
En 1945, un jeune photographe appelé Robert Doisneau (1912-1994) est chargé, par les éditions Denoêl, de réaliser un reportage sur Blaise Cendrars (1887-1961), écrivain déjà célèbre. Cette commande est destinée à la promotion de son roman L’Homme foudroyé. Reçu par le romancier dans son repaire d’Aix-en-Provence, Doisneau y trouve un ermite (…)
« Je me souviens de Paris casquettes et chapeaux melons et de Paris révolté, Paris humilié, Paris bigots-bourgeois, Paris putains mais Paris secret et puis Paris barricades, Paris ivre de joie, et voici Paris bagnoles, Paris combines, Paris jogging... » Cet ouvrage associe des photographies et des textes de Robert Doisneau (1912-1994) (…)
Poète des banlieues maussades et des petits riens anonymes, Robert Doisneau est ce parisien malicieux qui joue de la photographie comme son ami Prévert jouait des mots. Ce regard qu’il porte sur le quotidien avec une bienveillance amusée, cette disposition d’esprit qui le rend “amoureux de ce qu’il voit” font de Doisneau l’archiviste des (…)
On ne compte plus les parutions consacrées à Paris, dont l’image est systématiquement associée à l’oeuvre de Robert Doisneau. Cartes postales, livres, affiches, calendriers... autant de facettes qui reflètent certes l’esprit du photographe ; mais aussi et surtout précisément parce que les deux ne font qu’un celui de la ville de tous les (…)
La 8e édition des Promenades Photographiques, dirigées par Odile Andrieu, se tiendra du 22 juin au 16 septembre 2012 à Vendôme. Cette année, plus de 20 expositions guidées par La Main de l’homme nous présenteront les photographies de Sebastião Salgado, celles de la section photographique de la Farm Security Administration pendant la Grande (…)
La maison de ventes ADER organise, en collaboration avec ARGENTIC, le jeudi 31 mars à 14h dans sa salle au 3 rue Favart 75002 Paris, sa première vente de livres photographiques de collection. Cette vente réunit près de 300 livres provenant de bibliothèques privées, dont celles de l’écrivain Patrick Roegiers ou de la photographe Yvette (…)
Sortie nationale le 26 août du numèro 6 de Polka ; au sommaire : En Iran, les dernières élections présidentielles ont offert une tribune à l !opposition au régime. Les femmes sont au premier rang de ce mouvement de libération. Depuis des années, Abbas (Magnum) va à la rencontre de ces jeunes Iraniennes entrées en résistance qui se battent, à (…)
Né le 14 avril 1912 à Gentilly (Val d’Oise) dans une famille de petits bourgeois toute vouée à la cause de l’entreprise familiale de plomberie, Robert Doisneau passe une enfance difficile dans une ambiance imprégnée par des valeurs rigides de sérieux et d’application. Robert Doisneau est décédé le 1er avril 1994 à Paris, il aurait eu 82 ans le (…)
Robert Doisneau (14 avril 1912 - 1er avril 1994) est un photographe français, parmi les plus populaires d’après-guerre. Robert Doisneau est probablement le photographe français le plus connu dans le monde entier grâce au « Baîser de l’Hôtel de Ville » les photographies des rues de Paris et de sa banlieue de Robert Doisneau ont fait sa renommée. Robert Doisneau se définissait lui-même plus comme étant un « pêcheur d’images » plutôt qu’un « chasseur d’images ». Doisneau est un passant patient qui conserve toujours une certaine distance vis-à-vis de ses sujets. Il guette l’anecdote, la petite histoire. Ses photos sont souvent empreintes d’humour mais également de nostalgie, d’ironie et de tendresse. Il travaillait sur Paris, ses faubourgs et ses habitants : artisans, bistrots, clochards, gamins des rues, amoureux, bateleurs, etc. ; il enregistra pendant près d’un demi-siècle des milliers de portraits du petit peuple de Paris. Il a participé au Groupe des XV aux côtés de René-Jacques, de Willy Ronis, de Pierre Jahan, dans les années 1950.