Zones, de Michel Mazzoni. Les images de Michel Mazzoni agitent, d’un même imperceptible bruissement, le sens du récit et la direction du regard, sans avoir besoin d’esquisser le moindre geste.
Zones, de Michel Mazzoni. Les images de Michel Mazzoni agitent, d’un même imperceptible bruissement, le sens du récit et la direction du regard, sans avoir besoin d’esquisser le moindre geste.
“L’ébauche d’une narration semble se heurter au côté mat, frontal, obstiné et littéral de ce qui nous est montré : terrains vagues, âmes vagues, lieux et êtres à l’abandon, remparts lisses et aseptisés, lambeaux de ville qui s’épient ou se défont, d’une nature qui se cherche, sous une lumière crue presque irréelle ou dans la pénombre. Mais (…)